Résumé du rapport
Lexmark « renforce son engagement envers sa plateforme de services infonuagiques en améliorant les capacités de flux de numérisation et en augmentant ses fonctions de génération de rapports grâce à des technologies avancées d’intelligence artificielle (IA) et d’apprentissage automatique. Ceci est renforcé par de solides mesures de sécurité et un processus de mise en œuvre flexible », a déclaré Quocirca dans son Aperçu du marché des services d’impression dans le nuage de 2024, qui a désigné Lexmark comme chef de file des services d’impression infonuagiques pour la troisième fois consécutive.
La société de recherche et d’analyse du marché mondial définit les chefs de file comme des fournisseurs qui dominent le marché à la fois par leur vision stratégique et par la richesse de leur offre de services. Les chefs de file ont réalisé d’importants investissements dans leur gamme de services et dans leur infrastructure. Ils ont également à leur actif de fortes capacités de prestation de services.
Le rapport met en lumière plusieurs offres du portefeuille de Lexmark Cloud Services, notamment la gestion des impressions dans le nuage, la gestion du parc d’imprimantes dans le nuage et la gestion de la numérisation dans le nuage, ainsi que Cloud Bridge.
Certains des points forts de Lexmark en matière de services d’impression dans le nuage mentionnés dans le rapport sont les suivants :
- Véritable architecture infonuagique à locataires multiples. LCS a été conçu dès le départ pour être une véritable plateforme infonuagique avec une configuration à locataires multiples qui maintient les renseignements des clients et des partenaires segmentés, sécurisés et privés.
- Rentable pour un environnement de parc distribué. Lexmark Cloud Print Management élimine le besoin de serveurs d’impression dédiés, réduisant ainsi les coûts financiers et environnementaux liés à l’achat et à la maintenance des serveurs d’impression.
- Sécurité renforcée. LCS prend en charge tous les systèmes de gestion des identités conformes aux protocoles SAML 2.0 et àOIDC, avec un chiffrement AES 256 bits et un protocole TLS de bout en bout/SSL, et exige que les micrologiciels et les applications soient signés numériquement.